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Karine reçoit la visite du responsable label bien-être et en entreprise, M. Piot. Mais malheureusement pour elle, tout le monde va lui faire mauvaise impression, en commençant par elle-même qui va péter sous ses yeux alors qu'elle croyait qu'elle était seule, avec Déborah, dont le téléphone sera en train de vibrer sous sa jupe après un moment de détente et Nathalie, qui avec ses allaiteurs au fromage de chèvre, va être le signal du départ de M. Piot qui, en partant, écrasera le nouveau poisson d'Hélène...
Hélène a décidé, sous les conseils de son thérapeute émotionnel, de se faire des amis. Elle va donc essayer d'emprunter du gloss à quelqu'un dans l'entreprise, mais tout va dégénérer quand Hélène va « tomber amoureuse » du gloss et ne plus le rendre à sa propriétaire. Pour aider Hélène à se rendre sociable, les autres ont décidé de faire un jeu dans lequel ils ont des étiquettes sur le front et doivent deviner la célébrité qu'ils sont. Mais Karine est contre cette idée de Grande Famille...
C'est l'anniversaire de Karine et Sophie et Sophie s'amusent mesquinement à la charrier alors qu'elle fête ses 40 ans et qu'elle n'en est pas fière (d'ailleurs, elle a des marques sur le front prouvant sa visite chez le chirurgien esthétique. Déborah, elle, est chargée du recrutement d'un ancien détenu et toute émoustillée par cette découverte, perd son sang-froid, de façon inattendue... Hélène, elle gère mal les remontrances sévères d'un client mécontent... Finalement, les filles ont décidé d'offrir un cadeau pas commode à Karine.
Karine attend l'arrivée d'investisseurs chinois et ne veut pas que ce soit un fiasco. Elle convoque alors toute l'entreprise et leur donne des choses à faire : Nathalie, le thé vert, Hélène, le déguisement tibétain, Déborah, le lap dance. Mais lors de la réunion pour signer le contrat, celui où Nathalie devait faire son thé vert, elle gâche tout à cause de son téléphone et des jouets de ses enfants. Déborah, elle, bloque l'ascenseur alors qu'elle est avec un homme pour le séduire et Sophie et Sophie se moquent des Chinois.
Déborah se sent complexée par rapport à la taille de ses seins parce qu'ils sont naturels. Elle calcule alors la masse de ses seins et demande à des inconnus de vérifier... Quant à elle, Nathalie se moque de cette idée de refaire les seins et trouve un malin plaisir à ridiculiser un « expert » en la matière. Hélène continue sa quête aux amis mais ne trouve que sa chaussette et une tête en carton. Karine essaie, elle, de faire rentrer la date d'un rendez-vous dans la tête de Nathalie tandis qu'un combat d'aspirateurs a lieu juste à côté.
C'est le jour des élections syndicales dans l'entreprise. L'unique candidat est Mercier. Mais Karine refuse car elle le pense communiste. Elle a donc un plan pour le contrer : elle charge Nathalie de se présenter face à lui, Déborah d'exercer ses « talents » pour recueillir des voix et Hélène de... lui faire un café. Mercier a recruté une mascotte déguisée en taupe pour faire sa promotion, mais Hélène est traumatisée par les taupes depuis son enfance. Elle l'assomme avec un extincteur devant la machine à café. Nathalie apprend à faire des exercices de contraction du périnée pour renforcer son désir. Finalement, Karine annule les élections car des photos compromettantes de la DRH ont circulé.
Gaël, un jeune stagiaire passe un entretien avec Karine qui lui jette sa convention de stage au visage. Déborah récupère Gaël, ce qui va rendre Karine jalouse. Les deux femmes vont se disputer pour avoir le stagiaire. Nathalie se vante auprès de ses collègues du collier de pâtes que son enfant lui a fait. Sophie et Sophie essayent de racketter leurs collègues après leur avoir montré leur culotte. Hélène prétend qu'il y a un requin derrière l'aquarium sur son bureau. Elle agite au bout d'un bâton un aileron en fredonnant la musique des dents de la mer.
Après une fusion avec une compagnie américaine, Karine est remplacée dans ses fonctions par une nouvelle venue, miss Pancock. Déborah, quant à elle, se retrouve dans une fâcheuse posture aux toilettes...
Une grève à l'école oblige Nathalie à venir au travail accompagnée de ses cinq enfants. Karine, qui a une sainte horreur des bambins, exige de ne pas les voir de la journée. Pour leur part, les standardistes Sophie et Sophie s'amusent à faire peur à un coursier. La frayeur lui fait lâcher le paquet qu'il venait livrer, et un épais nuage de cendres se répand dans le hall d'entrée de l'entreprise...
La climatisation est à nouveau en panne, et un froid polaire règne dans les locaux. Chacun tente de se réchauffer comme il peut. Pendant ce temps, Déborah donne quelques conseils de séduction à Hélène..
Le jour de la fête des secrétaires, Hélène et sa voisine échangent des cadeaux. Fatiguée de subir sans cesse moqueries et humiliations, Hélène tient à faire entendre son point de vue...